Web social : chafiq

Web social : chafiq

L'évolution des réseaux sociaux pour sauver notre environnement

 

 

  

 

Mon essai va comporter les points suivants : je vais commencer pour relater le bilan de l’apprentissage de ce cours INF6107, puis  je vais aborder les changements que le web social pourrait apporter pour un domaine que j'ai choisi  qui est l’environnement avec quelle  tendance  observée pour les années à venir,  et je vais finir par une conclusion.

 

  

Tout d’abord, j’ai beaucoup apprécié l'organisation de ce cours, ses consignes,   le design de son site assez convivial ainsi que les sujets traités par les différents membres qui ont bien voulu partagé spontanément leurs points de vue depuis le début jusqu'à la fin de ce cours.

 

   

En général, le réseautage social existe depuis que les hommes sont constitués en société. Des groupes sociaux, organisés autour d’un thème fédérateur (religion, classe sociale, études, etc.), forment un type de réseautage informel : recommandation à un tiers, réunions organisées, etc. 

 

 IL va sans dire que le processus de la découverte scientifique va se multiplier dans les  20 prochaines années qu'au cours des 300 dernières années grâce à ce réseautage social.

 

  

A travers ce cours, nous avons examiné plusieurs techniques déployées dans le domaine des technologies de l’information et de communication en commençant par le socialbookmarking qui est une pratique visant le partage de signets ou "bookmarks" qui permet  la mémorisation, le captage des adresses d’un site web que l’on peut alors retrouver et réutiliser à partir des sites les plus connus de social bookmarking tels que  Delicious et Diigo qui ont plusieurs millions d'utilisateurs, mais Diigo est nettement plus avancé sur les fonctions sociales, comme il est le  cas dans notre cours.

 

   

Aussi, l’utilisation de Delicious s’est avérée efficace  car parfois le système personnel de marque-pages et de favoris peut êtres limité. L'utilisation des tags sur Delicious s’avère utile, en partageant les mêmes centres d’intérêt. L’une des forces de Diigo est la possibilité de créer des groupes et listes dans lesquels plusieurs utilisateurs peuvent interagir. Il est ainsi possible de commenter des signets, de les annoter, d’ajouter des utilisateurs comme contacts et de communiquer avec eux en utilisant le service de messagerie interne. On peut rechercher des utilisateurs qui ont les mêmes intérêts et aussi  en recherchant d’autres qui sont actuellement en ligne. En intégrant à notre groupe, on est certain de trouver des ressources qui nous intéressent, et on peut aussi suivre chacun des membres du groupes, voir toutes les ressources attirantes que le participant de ce cours indexe, au-delà de ce qu'elle propose dans le groupe. 

 

   

L'utilisation de l’outil Google s’est avérée aussi utile dans notre démarche. Il nous a aidé à élaborer notre site et grâce au service de Google Analytics à augmenter le nombre de visiteurs et à accroître ce nombre au sein de groupe correspondant à notre initiative:l’Energie solaire, Quel impact ?

 

  

L’utilisation de cet outil permet d’identifier les opérations de marketing en ligne les plus rentables et connaître le comportement réel des visiteurs sur notre site. L’exploitation des statistiques fournies par cet outil permet d’apporter des améliorations à la présentation de notre site, en générant un trafic ciblé pour augmenter le nombre de visites. 

 

Le sujet abordé par mon initiative qui est l’énergie solaire, une source propre, ou l’initiative citée par David Morin concernant l’eau : Pensez y et qui a traité l’impact des forages pétroliers ou le billet qui a bien voulu partagé avec moi dans son bloque Charles Pauzé ayant trait aux réseaux sociaux écolos ou il a fait référence au réseau social  Facebook  pour échanger des idées sur l’impact des gaz à  effet de serre émis par les avions et qui invite notre adhésion  à partager des liens, articles et sources pertinentes. Ces sujets s’inscrivent dans un carde d’actualité qui est la sauvegarde de notre environnement et en particulier l’océan mondial qui est  le réceptacle de nombreuses pollutions apportées par l'air, par les rivières, par les littoraux maritimes. L’environnement touche aussi la protection des espèces, les biocarburants, l’Eolien, le bio climatisme ainsi que le développement durable. 

 

   

En se référant au site wikipédia, il est à rappeler que l'environnement est défini comme l'ensemble des composants naturels de la planète terre comme l’air, l’eau, l'atmosphère, , les végétaux, les animaux, et l'ensemble des phénomènes et interactions s'y déroulant, c'est-à-dire, comme tout ce qui entoure l'Homme et ses activités. 

 

   

A travers, les réseaux sociaux, un débat fructueux pourrait être effectué par plusieurs groupes d’intérêt, qui pourraient apporter leur contribution afin de prévoir les risques, limiter les dégâts et sensibiliser l’opinion général sur les dangers dus aux facteurs polluants et émettre des solutions à court  terme dans un cadre de collaboration. 

 

  

 Dans les années à venir, nous allons s’attendre davantage  à des réseaux spécialisés dans différents thématiques. Si nous aimons l’environnement, par exemple l’écologie tout le monde sera intéressé via ces réseaux à défendre cet aspect et des cours à distance de web social dans chaque thématique seront  dédiés pour une meilleure compréhension et une sensibilisation de la gravité de la  situation, et par conséquent on peut sauver au moins à un certain pourcentage notre environnement. 

 

 

 

Il faut réellement ne pas comprendre les risques de l’environnement pour donner une ressource sans en conserver le contrôle. Sommes-nous en train de regarder d’une manière indifférente une catastrophe écologique ? La réponse est : Oui. Mais, les membres de différents groupes peuvent jouer un rôle primordial d’établir les liens à travers les réseaux sociaux et qui seront considérés une plate forme puissante pour résoudre les problèmes écologiques de notre planète. 

 

 

 

Cette dégradation de la planète pourrait être évitée si nous participons via les réseaux sociaux et maintenons un lien d’échanges de l’information à la fois globale et locale de l'environnement, à cause des activités polluantes humaines. La préservation de l'environnement est un des trois piliers du  développement durable et a été désignée comme l'un des huit objectifs du millénaire pour le développement.  Ce que je pense que l’évolution des réseaux sociaux a tendance à évoluer dans ce sens en vue d’échanger des idées constructives. 

 

 

 

 

 

 Les réseaux sociaux vont devenir de véritables outils de travail pour créer de plus en plus de métiers. Ils vont évoluer incessamment dans les années à venir comme le montre cette tendance de la courbe ci-dessous. Elle subit une nette croissance.

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 Les réseaux sociaux et du micro-blogging seront divers et leur utilisation serait plus intense . Mais au final, tous ces outils sont complémentaires et Facebook et Twitter créent du trafic supplémentaire et de qualité vers les blogs.

 

 

 

Il est donc légitime de se demander quelles vont être les évolutions des réseaux sociaux dans les années à venir, à la fois en termes de territoires d'influence, de source de revenus, de rentabilité et de publics ciblés. Les principales tendances mises en avant par les experts du secteur et les mettre en perspective pour déceler les possibles évolutions futures, comme le montre la  territorialité des réseaux sociaux ci-dessous.

 

 

 

 

 

 

     

 

 

 

 

 

 

La répartition statistique  de la cartographie ci-dessus montre clairement qu'aucun réseau social n'a une portée réellement mondiale. A Titre d'exemple, MySpace et Facebook constituent les plus grandes communautés sur Internet, avec près de la moitié des membres en provenance des Etats-Unis et majoritairement anglophones. Par ailleurs, beaucoup de réseaux uniquement régionaux se développent à savoir Facebook, StudiVZ en Allemagne et Vkontakte en Russie, ont beaucoup plus de succès dans leurs pays respectifs que le site américain lui-même. Par ailleurs, des sites quasiment inconnus en France fédèrent des audiences importantes dans d'autres pays. Il suffit de citer l'exemple de Hi5 qui compte 25 millions d'utilisateurs en Amérique du Sud et qui a gagné des parts de marché importantes également en Thaïlande, Roumanie et Portugal. De même, l'impact d'Orkut, réseau social de Google, est très développé en Amérique du Sud et en Inde, il se développe en Europe Occidentale. En France le réseau Skyrock rafle à lui tout seul 72% de l'audience totale des réseaux sociaux en ligne et héberge presque 14 millions de blogs. Ces réseaux ne peuvent pas évoluer sans l'Internet à haut débit. D'aprés le dernier rapport de l'Union Internationale des Télécommunications(UIT), le nombre des utilisateurs est 1 Milliard 966 Mille, soit 29% du globe terrestre utilisant cet outil pour se connecter aux réseaux. Sur le plan des continents, l'Asie compte : 42%, l'Europe : 24,2%, l'Amérique du Nord : 13,5%, l'Amérique de Sud : 5,6% et l'Australie: 3,2%. En ce qui concerne les langues, c'est la langue Anglaise qui est la plus utilisée( puis la Chinoise, l'Espagnole, la Japonaise,la Portugaise l'Allemande, et l'Arabe). La langue française est la 8éme langue déployée par les internautes.

 

 

 

  

 

 

 

 

 

Le corollaire de ces constats est que les sites de réseaux sociaux pourront aspirer tout au plus à une présence continentale, mais auront difficilement un retentissement mondial. Cette tendance est renforcée par l'émergence de sites de niche ciblant des marchés éminemment locaux. Cela montre pertinemment que les réseaux sociaux sont entrain de s’organiser à travers le monde, de se développer d’une manière réglementaire et que leurs membres vont se multiplier dans les années à venir et vont apprécier le travail de collaboration.

 

  

Afin que ces réseaux sociaux puissent se développer et évoluer dans un sens positif en défendant plusieurs sujets d’actualité, ils doivent chercher les sources de revenus cités ci-aprés qui peuvent être diverses comme un catalyseur pour leur survie  . 

 

 Publicité qui génère actuellement des revenus insatisfaisants pour la majorité des réseaux sociaux, à l'exception de ceux qui sont capables de cibler très précisément leurs publics

 

   

Or avec les réseaux sociaux on ne s'ennuie pas! Il y a tellement de choses à faire pour interagir avec ses contacts qu'il n'y a pas de raisons de regarder les publicités, au moins qu'elles n'adressent un besoin très spécifique des utilisateurs du réseau. Souvent, d'ailleurs, des campagnes de marketing viral, orchestrées par les marques dans des forums de consommateurs, ont été bien plus efficaces que des campagnes internet traditionnelles!  

 

 

Abonnements: source de revenus récurrents pour les réseaux qui l'adoptent, le modèle économique basé sur les abonnements ne se justifie cependant que pour les sites qui apportent une importante valeur perçue à leurs membres. Aujourd'hui peu de réseaux sociaux arrivent à survivre uniquement grâce aux abonnements : parmi les exceptions, Match, numéro 1 mondial de la rencontre en ligne, qui capitalise sur la qualité et la sécurisation des profils actifs sur le site en abolissant toute forme de publicité.

  

 

Micropaiements: cette formule consiste à faire payer à l'utilisateur de toutes petites sommes pour acheter des services additionnels qui améliorent son expérience du site. Le coût marginal de ces services est tellement bas qu'il est presque imperceptible pour l'internaute, mais sur un grand nombre de transactions, il peut générer des sommes importantes.

  

 

 Partenariats : des sociétés peuvent décider de faire levier sur l'image de certains réseaux sociaux pour mieux atteindre leur public. Par exemple iTunes a développé un partenariat avec Facebook le public duquel correspond parfaitement à son cœur de cible. 

  

 

Affiliation : grâce aux réseaux sociaux, il est possible de créer des groupes d'affiliation à un produit ou à une marque. Cela fédère un groupe de consommateurs autour d'un produit ou d'une marque et incite des phénomènes d'émulation. Cette stratégie a deux inconvénients majeurs : d'un côté elle est valable uniquement pour les produits statutaires et donc elle ne bénéficie pas d'effets d'échelle ; de l'autre côté elle profite plutôt à la marque. A contrario, les réseaux ciblés génèrent plus facilement des revenus, que ça soit au niveau publicitaire ou sous forme d'abonnement, car ils fédèrent autour d'eux un public homogène réuni par la même passion ou appartenant au même "groupe" socio-économique.

  

 

 

En conclusion plus le réseau social est ciblé, plus il sera facile de le rentabiliser via des formules mixtes d'abonnement et publicité à long terme ; plus il est généraliste et plus les utilisateurs s'attendront à la gratuité des services: des modèles de rentabilité de type partenariat, affiliation ou micro-paiement seront alors les plus adaptés. La tendance forte est la vente en ligne de produits de la part de marques grand public. L'intérêt de la vente en ligne de produits via les sites institutionnels est, outre la génération de revenus additionnels, le renfoncement de l'image de marque et la fidélisation de nouvelles cibles de consommateurs.


L’autre tendance est celle de la vente d’expertise (conseil spécialisé, expertise régionale ou locale) sur des sujets spécifiques et en adressant les besoins de communautés restreintes. Ce modèle est exploité tout particulièrement par les réseaux sociaux de niche s'adressant à des utilisateurs bien identifiés.

 

 

 Le prochain défi pour les réseaux sociaux va être l'avènement de la 3D permettant des interactions encore plus riches entre participants et une symbiose accrue du monde réel et virtuel. Le potentiel de croissance des revenus deviendra réellement significatif. 

  

Les réseaux sociaux existent maintenant depuis plusieurs années et les plus gros d’entre eux représentent aujourd’hui plusieurs millions de membres. Comme nous avons cité précedemment, ils demeurent un acteur historique du réseau social  sur Internet qui se définit par l’action de développer un réseau de relations sur la toile.

 

 

Ces réseaux sont très efficaces dans une recherche de profils ciblés mais ils ont leurs limites. Plus récemment de nouveaux réseaux apparaissent avec des modèles de communications plus ouverts mettant également à mal les modèles des réseaux cités précédemment. C’est le cas de Facebook qui est en train de pénétrer le marché international à très grande vitesse en proposant des profils plus personnels et une plateforme ouverte pour la création d’applications et l’échanges d’informations / interactions entre les membres. Dans les années à venir, il va diversifier ses services afin qu’il soit attiré par un grand nombre des utilisateurs. 

 

 

N'oublions pas que les entreprises utilisent cet outil de communication pour se connaitre. La possibilité de transmettre facilement de l'information ou de faire de la publicité à moindre coût n'est pas étrangére à la popularité des médiax sociaux au sein des entreprises. Pas mal des employés surveillent souvent ou parfois les réseaux des médias sociaux afin de vérifier si leur entreprise y était mentionnée.

 

 

Les réseaux sociaux sont les nouveaux lieux de rencontre entre les citoyens. Comme a expliqué Tim Hickernell, analyste principal à l'info-Tech Research Group, que le gouvernement peut y sonder les besoins de la population. Ils s'avérent efficaces dans le cadre d'initiatives de sensibilisation et d'information du gouvernement, car ils transmettent les messages souhaités à une échelle beaucoup plus grande que ne le font les réseaux médiatiques traditionnels. Les réseaux sociaux ciblés se développent de plus en plus, comme le témoignent le nombre croissant d'abonnés aux différents sites .

  

 

Les réseaux sociaux vont développer dans les années à venir la construction d’un profil le plus complet possible agrégeant CV, Blogs, Photos, Vidéos, services web, autres profils, flux RSS en tout genre. Ce profil public vous sert alors de présence dynamique et centralisé sur le web et d’identifiant pour vous enregistrer (avec OpenID) sur tous les nouveaux services compatibles du web. Car au final, le Web est un réseau social en lui-même et la majeure partie d’entre nous l’utilise via Google pour trouver des informations mais aussi des personnes.

 

   

Les réseaux sociaux permettent une présence sur le Web. Cette présence peut-être multiple, divisée et potentiellement obsolète. La notion d’identité numérique prend donc tout son sens et la gestion de votre réputation sur Internet sera sûrement un enjeu majeur dans les prochaines années quelques soient le ou les réseaux sur lesquels on maintient notre présence et aura un impact sur notre vie quotidienne. Une réglementation renforcée serait nécessaire afin que les informations personnelles soient protégées et ne soient pas divulguées aux autres.

  

 

 

 Pour des informations supplémentaires, je vous invite à  visiter les sites cités ci-dessous de référence.

 

 

 

  Je vous invite aussi à visiter ce vidéo via ce lien montrant une militante de l'environnement ci-dessous ayant trait au billet que j'ai déjà fait référence dans mon blogue pour l'apprentissage de la  langue anglaise:

 

         http://elss2010.wordpress.com/2010/07/19/environment/



11/08/2010
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